~ La Vie du Personnage :Famille : : Ma famille... Je ne sais même pas si un jour j'en ai eu une vrai mais bon, ma mère s'appelais Abriria(passager) a ce que a dit mon père vu que je ne l'ai pas vraiment connu vu qu'elle est morte mais ca aussi tu le seras après pourquoi elle est morte ! Curieux !, ben mon père il s'appelle Mkali(Stricte) et il est mort lui aussi ! Par mes propres pattes à cause de ce lion inconnue qui en voulait à ma famille ! Attention t'est entrain de me mettre en colère là. Tu est trop curieux. .
Physique : J’ai pu me doter d’une grande partie de la beauté de ma mère, cette dernière m’ayant laissée ce qu’il y avait de mieux, dans son programme génétique. Le mélange avec les gènes de mon père, me donna en particulier une taille inférieure à une lionne normale, très fine à la limite de la maigreur vue sous certains angles, me donnant une rapidité hors pair. En effet, je suis taillée pour la vitesse, cependant je possède une certaine force bien qu'elle ne soit pas à la hauteur de lions et lionnes normaux, je l'utilise juste différemment afin d'arriver à mes fins. Je garde en morphologie, le visage taillé au couteau de mon père, ainsi que ses pattes à l’envergure presque surdimensionnée. Mon pelage est celui de ma mère ; il est d'un brun-prune en grande partie. Sous les reflets de la lune, mon pelage se propage, s'envenime pour me voiler de la noirceur de la nuit, me permettant alors de faire des chasses nocturnes, de rester souvent bien invisible et absente. Mes yeux sont ceux de mon père ; aussi pâles que la lune, et terriblement lumineux, animés d’une envie presque infime à traduire, tant mon visage est dénué d’émotions. Ma pupille est d'un vert comme l'herbe, mais le fond de l'oeil est d'un jaune perçant, mon regard est dit "hypnotique". Parfois, lorsque l'émotion m'étreint, je rugis comme mon père, mon véritable cri ; un rugissement glacé, monstrueux et d'une lourdeur angoissante...
Caractère : Il y a de ces choses incomprises dans un monde futile et froid. Aussi froid que ce soleil tentant de réchauffer ton pelage sablée. La savane est glacée de par tes yeux pâlis par les années. Un soupir. Un regard. Un monde qui se détruit devant ton regard incompris. Tu n’es qu’une lionne, pour toi, mais bien plus ou moins, pour ceux t’entourant. Une étrangère, une traître, une stratège sans fondements, une lionne qu’on ne pourra jamais assimiler tant sa complexité se développe et se modifie de jour en jour. Mais Daitya, sais-tu seulement qui tu es ?
Tu te vautres dans la simplicité, tu observes en silence le monde qui t’entoure, l’assimilant, le modifiant dans diverses hypothèses pouvant t’amener au plus près de ton objectif grandiose…De ton but impossible. Tes griffes se rétractent, tes yeux perdent leur étincelle sublime. Qu’ai-je dit, pour ainsi te troubler ? Qu’ai-je fait, pour que tu ne veuilles plus me fixer ? L’on voudrait te connaître, Daitya, l’on voudrait savoir ce qui se cache derrière cet impassible visage, ce sourire imperceptible et ces yeux glacés. Mais tu n’en feras rien, non, rien du tout…Tu nous laisseras dans la boue de l’inconnu, pour mieux profiter de nos erreurs, pour mieux nous examiner de ton rocher, et connaître nos faiblesses, pour survivre, oui, survivre…
Et nous jalousez de posséder ce que tu n'as jamais eu.Tu te cache sous ton voile, pour cacher quelque chose. Une peur qui te hante a jamais, qui a refermée tout sentiments. Ton sourire tu veut l'oublier a jamais pour ne pas que l'on voit cette peur. Tu nous regardes mais dès que l'on se retourne vers toi, tu te cache pour ne pas que l'on te voit. Mais de quoi as tu peur ? Mais quel est cette peur ? Toi. Tu as peur de toi depuis le jour fameux de la mort de ton père, tu t'effrais toi même. Tu ne veut pas croire a ça et pourtant c'est la triste vérité. Tu trompe les autres et tu te trompe toi même. Tu trompe ces pauvres lions qui sont tomber sous ton charme et que tu manipule...
Arrête de te voiler la face,Daitya, Arrete de mentir aux autres et de te mentir a toi même ! Menteuse !Oh oui, tout est planifié, dans ta tête. Tout est imprimé. Le moindre paysage, le moindre lion, le moindre évènement, la moindre parole. Qu’importe qu’elle ne rime à rien, mais tu l’utiliseras pour comprendre chaque habitant de la terre des lions. Est-ce un jeu ? Un devoir ? Une obligation ? Personne ne le sait, sauf peut-être que tu connais tout, oui, tout ce qui se passe, tout ce qui s’est passé, et parfois même ce qui se passera. Ton analyse est effrayante, tout comme tes stratégies ; la digne fille de son père. Ta beauté ? Tu te sers de ce qu’il te reste. Ton intelligence ? Tu l’utilises en totalité, sans pour autant la montrer avec vantardise, pour ne pas te démasquer. Tes émotions ? Restreintes au maximun.
Mais que cherche tu au fond, Daitya ? Tu cherche celui la qui te sauveras de cet enfer que tu aime tant où tu te vautre sans géne. Celui qui brisera cette peur et ce voile qui cache la vrai Daitya. Celui qui sauras te donner l'amour et tu lui en donneras en retour. Celui avec qui tu sauras bien, celui qui reverras ce sourire qui as disparu de ton si jolie visage. Celui qui trouvera des sentiments sur ta bouche et tes joues. Celui qui verra ce que tu pense rien que en regardant tes yeux si froids.
Tu veut juste être aimée, Daitya , et aimer en retour
.
Histoire : A quoi bon raconter ? A quoi bon cacher ? Je ne veux ni oublier, ni me rappeler. Il s'agit d'un passé, lourd d'une certaine manière, triste pour certains, et excitant pour les plus aventureux à même d'écouter. Je suis une lionne, survivante d'un lion au intention inconnue. Cette expérience m'a fait comprendre que survivre est le but ultime. Mon but. Et pour survivre, j'ai compris que dans la vie tu ne peut faire que confiance à toi-même. Voulez-vous écouter ? Voulez-vous pleurer ? Voulez-vous rire ? Vous noyez dans des émotions futiles et fourbes ? C'est votre choix, je n'ai pas à donner mon avis sur celui-ci, juste m'en servir pour arriver à mes fins. Alors, que va dire cette gueule étincelante ?
Chapitre 1 ~
L'entrée dans le monde .
Les premiers moments de ma vie débutaient, tout simplement, je suis née d'une jeune lionne au pelage fauve et d'un père brun. Tout deux étaient faits pour se rencontrer, ma mère était douce et gentille alors que mon père est plutôt dragueur avec un caractère fort, leur histoires d'amour duraient depuis l'adolescente et avait enfin décidés d'avoir un lionceau. Et voilà comment je suis arrivée dans les hautes herbes qui caresser mon pelage en douceur. J'étais leur fierté . Ma vie de lionceau était normal, le sourire toujours au babines et les bêtises par milliers. Je connus toute les bêtises en tout genre. Et pourtant, malgré tout ce bonheur que j'avais en moi, j'avais une peur en moi : La mort. Pour un lionceau avoir des pensées comme ça, c'était non envisageable mais j'y pensée et même tout les soirs, ça me hantais ! Ça me détruisais mais de l'intérieur, j'avais l'impression que la mort me tuait à petit feu. Je l'ignorais le plus possible mais c'était comme si quelqu'un me murmurait : « tu vas mourir plus vite que tu peut le croire... Alors Tue ! ». Non ! Je ne voulais pas tuer. Personne ne pouvait m'y obliger pourtant le malheur devait arriver... Un beau jour, ma mère m'amena pendant sa chasse habituelle pour me nourrir. Arrivées à la plaine, ma mère continua sa marche jusque' à a arrivait devant un troupeau de gnou. De loin ,elle me dit :
« Assis toi ma belle et observe ! »
Sans plus attendre, j'assis mon fessier sur le sol et regardait avec attention. Tout ce passa très rapidement. Ma mère commença à s'avancer avec souplesse vers les gnous mais les gnous fut suris par un bruit et s'en allèrent. Le bruit ne venait pas de ma mère mais d'un lion fort et musclé qui arriva devant ma mère. Le lion se jeta sur ma mère comme un prédateur attaquant sa proie, la griffa et lui défigura son si jolie visage. Ma mère essayait de se défendre tant qu'avec ses coups et ses griffes mais étant trop vieille, elle ne tenait pas devant ce lion. Je vis le massacre bien trop tard et je courus de toute mes forces. C'était horrible, ma mère en sang des griffures et des morsures partout mais ce n'était pas ça qui me faisais le plus peur au que non ! Le lion était derrière moi, un sourire plutôt sadique aux babines et les griffes sortit. Je me reculais du lion, mais il s'approchait. La peur au ventre, je me mis à courir le plus rapidement possible mais je trébuchai et me coinça la patte dans une racine sortit du sol. Il s'approcha et me montra ses crocs avec une haine noir et dit :
« Si tu ne veut pas venir avec moi, tu finiras comme ta pauvre mère ! J'espère pour toi que tu feras le bon choix sinon tant pis pour toi. »
Au début, je me dis *pas question de le suivre ! * mais en réfléchissant bien, si je disais non, je subirais le même sort que ma mère. Je sortis ma patte coincée et me mit derrière pour lui faire comprendre que je le suivrait. Il commença à marcher. Je le suivait au petit pas pensant que j'aurais bientôt droit à ma vengeance … Oui, un jour !
Chapitre 2 ~
La mort, une peur oubliée.
Le décés de ma mère était vieux maintenant. J'étais éduquée par ce lion qui avait commis le meurtre de ma mère. Il m'appprenait les coups, comment charmer des lions pour les manipuler après, les meurtres, toutes ces choses que je trouvais horrible mais maintenant que je trouve démoniaquement belle. J'étais une belle et jeune adolescente, depuis mon enfance, j'avais bien changée. Je n'avais plus peur de la mort, du sang et de la guerre. Pour moi, c'était normal et sans craintes même j'aimais provoquée ces choses là. Ce lion m'avait totalement changée. Dans quel but ? Nul ne le savais même peut-être pas lui ? Cela me passait au dessus, j'avais une popularité de « charmeuse ». Ce lion m'avait appris toutes les techniques les plus démoniaques dans le domaine du charme et de la manipulation, j'étais une lionne « sans cœur » enfin c'est ce qu' « il » disait. Maintenant,je le considérée comme un « maître » même si au fond de moi, j'avais une haine raciale contre lui. Et un jour, mon maître arriva devant moi et me dit :
« Daitya, mes entraînements n'ont pas servis à rien. Regarde ce que tu es devenue ! Belle et machiavélique ! J'en suis si fière. Et maintenant, je vais te confier une mission. Je veut que tue ton Père ! »
Au début, je pris toute ces paroles pour des compliments mais ça dernière phrase me retourna le ventre « Je veut que tu tue ton père ! ». D'accord, je peut tuer tout les lions sauf lui ! C'était inpensable, je ne pouvais pas. Je lui répondis :
« Comment oses-tu me demandais ça ? C'est mon père, ce n'est pas n'importe qui ! Je refuse ! C'était ça alors ton but de m'entraîner ainsi ? »
Il s'énerva et me plaqua par terre en montrant les crocs :
« Comment te permet tu de me parler en ce ton là ? Oui, c'était bien mon but. Tu n'est qu'un objet pour moi Daitya, et je peut te tuer maintenant si j'en ai envie malgrè ma vieillesse, tu ne peut me battre ! »
Je fis un signe de oui alors. Il s'enleva et partit le sourire sadique aux babines. Je savais très bien qu'il pouvait me tuer alors pourquoi tentait le diable ? Maintenant, je me devais de trouver mon père et d'en finir. Le soir même, je me couchais et là je vis mon père en dehors de la termitière. Mon maître me fit signe d'y aller, se hâtant du massacre. Je me levais alors et m'approcha de mon père. Bien sur, il me reconnut tout de suite. Il s'exclama :
« Daitya ! C'est bien toi ! Tu as tellement changée mais où étais-tu ? ça fait des lustres ! Daitya... Que... Qu'est que ce regard ? »
Sans lui répondre ou montrée un signe d'affection, je me jetais sur lui. Je lui griffais l'oeil pour qu'il voit floue un bon moment et d'une morsure dans son cou, je lui coupais la respiration. Il étais mort. Je l'avais tué. Une larme coula voyant le corps sans vie de ce lion que j'avais tellement aimée. Mon maître se leva et me sourit :
« Bravo Daitya ! Tu viens d'accomplir mon plan et maintenant, tu ne me sers plus à rien. Tu est libre . »
« Moi maître, je n'ai pas encore terminée. Et maintenant, tu vas subir tout ce que tu m'a fait subir ! MEURT ! »
« Que.. Quoi !? »
Le sang de mon père coulait encore de mes babines. Je sourit sadiquement devant ce lion qui m'avait causée tant de problèmes et me jeta sur lui, je montrait un regard haineux si on m'aurait vu, On aurait pu croire que j'étais folle. Je le griffais, le mordais mais il savait se défendre et il me retourna pour que je sois sur le dos, plaquée par ses grosses pattes si lourdes et il me jeta un regard noir, mon sang coulait de ses babines :
« ça t'apprendra à vouloir me tuer et maintenant, écoute mon secret : Ta famille, je voulais la tuée jusqu'au dernier. Une haine qui dure depuis ma jeunesse depuis que ton père ma volé MA lionne ! J'ai tuée ta mère, je t'ai obligée à tuée ton père pour que je n'ai pas de problèmes et maintenant, c'est à toi de mourir ! »
« Je ne vais pas mourir pas si jeune mais... TOI, OUI ! ! »
Je jetais le lion de la force de mes pattes pour qu'il arrive au bord d'un rocher, en pente, un des rares de ses terres arides. Et malgrè ma fatigue, je le poussa et il se réveilla en pleine chute. Le rugissement de douleur du lion se fit entendre. Moi, je n'en pouvais plus mais tout cela était terminé. Je regardais mon père versa une larme de pitié et de tristesse pour lui. Une lionne entendis le bruit et se réveilla, elle vus le lion en sang et alla réveillés les autres lions et lionnes. La lionne rugis dans la grotte et réveilla tout les lions. Tout le monde s'approcha et vu le corps sans vie de mon père. On me regarda après et c'est là que tout le monde sus que j'avais commis le meurtre de ce lion. Une lionne s'approcha plus de moi et c'est là qu'elle vis l'autre lion parterre. Tout le monde cria d'horreur. Je pus entendre à travers toute les voix "tueuse !","monstre !","folle !" et j'en passe. Une grande lionne, assez connue de l'Outland s'avanca. Elle s'approcha avec un signe de dégoût comme si je n'étais qu'une pourriture à jeter en l'air, bien que les meurtres était normal sur ses terres, j'étais aller trop loin à ce qu'elle dit. Les lionnes, lions et la grande lionne ne voyant aucune autre personne suspecte me bannirent du clan. Je leur jetais un regard des plus sombre que même les lions les plus cruelle frémissaient. Je partis sous une pluie battante. Je cherche un nouveau clan. Qui pourrais accepter une lionne qui a commis deux meurtres à la fois ? Je baissais ma tête anéantie par la pluie qui coulait de ma mèche, c'était la seule marque qui me restait de ma mère. Plus je marchais, plus le passé je l'oubliais. Je m'approche d'une taverne qui à mon avis était non occupée pour m'abriter. Je me couchais dans cette taverne humide. Je fermais mes paupières et essaya de m'endormir, ne cherchant pas à penser au lendemain qui allait être désastreux comme tout mes prochain jours. Je me réveillais, suivant mes pas, par mes pensées. J'arrivais devant le rocher du lion, j'étais en territoire pridelanders, je m'avançais. Je montais pour arrivée devant la grotte, j'entendis une lionne grognée. J'arrivais devant la lionne, lui expliqua et me présenta. Malkia, la reine Pridelanders, me regarda d'un air de dégoût mais en voyant que je pouvais rattraper ceci, elle appela le roi. La lionne et son lion parler, délibérer, et après réflexion, acceptèrent. Maintenant je suis Pridelanders et je vis une vie normal.
Autre : Oui ! ..
ben non x3~ Hors Jeu :Pseudo : Mia (:
Age : 13 ans c:
Niveau en RP: Ca doit faire.. 3 ans que je rp (;
Comment avez-vous connu le forum ? : Partenariats Lion King Dawn (;
Avez-vous lu le Règlement ? : Oui !!
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