Mon Personnage Espèce: Lionne d'Afrique Âge: 8 ans et 5 mois (01/11/24) Rang: Simple membre Alignement: Neutre/Bon Relation(s):
Mar 5 Déc - 7:20
Depuis que j'avais découvert ce corps j'étais toujours sur mes gardes, et Sikio avait décider de m'accompagner quand j'entendais un bruit je rester immobile tout en grognant en gros je devenait paranoïaque. Une lionne se diriger vers nous ses yeux verts m'interpeller car je savais que ma grand-mère, avait les mêmes yeux que moi en vérité c'est tout ce qu'on m'avait dit sur elle. Mais je ne croyais pas que ça pouvait être elle papa n'arrêtait pas de dire, qu'elle ne l'a pas aimée comme une mère alors y'avait pas de raison qu'elle revienne sur Freeland. Ma voix était neutre et méfiante
" Bonjour qui êtes-vous et que voulez-vous ? "
" Qu'est ce que ça peut te faire c'est moi qui aurait dû avoir une fille pas Naqa a chaque fois elles étaient morte-nées, ou elles vivaient que quelques jours mais ce bon a rien à réussi là ou j'ai échouée ton saleté de père doit payer. "
" Je vous interdit de touchez à mon père encore moins de le menacer si c'est comme ça, je vous demande de partir d'ici tout de suite. "
" HORS DE MON CHEMIN ! C'est ma sœur du moins elle était ma sœur c'est une malédiction d'avoir un fils j'ai tout, perdu en laissant cet imbécile en vie. "
" Pour la dernière fois allez vous en. "
" FERME-LÀ! "
La lionne sauta sur moi malgré qu'un lion soit à mes côtés et commença à me griffer sévèrement, je devais me défendre bien que je ne savais pas me battre contrairement à Vumbi j'espèrer que le guerrier vienne à mon secours.
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Sikio
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Mon Personnage Espèce: Lion brun de la Savane Âge: 6 ans (novembre) Rang: Chef des Guerriers Alignement: Neutre Relation(s):
Mar 26 Déc - 21:23
AGRESSION D'UNE NOURRICE
FACE À UNE LIONNE REMPLIE DE HAINE
ft. Bosimamiwe & Vanyengeri (PNJ)
Le cadavre de Kuvira avait été découvert il y a plusieurs jours, plongeant la savane dans un état de peur. L'alerte avait retenti chez les Freelanders, et le chaos s'était emparé des terres libres. Ysera, informée de la situation, s'était empressée de réunir les dirigeants pour décider de la marche à suivre. La panique régnait, la crainte de la colère imminente de Kupendwa et de Prideland pesant sur tous. Ysera et les conseillers s'activaient déjà à trouver des solutions. Cependant, Sikio, lui, avait choisi de vaquer à ses occupations habituelles. En se levant, il s'était projeté dans une petite balade solitaire dans la savane, peut-être accompagnée d'une séance d'entraînement avec Vurugu. Étrangement, la perspective de partager le sort de Kuvira ne l'effrayait pas; au contraire, il semblait presque idéaliser cette éventualité.
Alors qu'il se préparait à s'éloigner pour une escapade solitaire, Bosimamiwe l'avait abordé, ses yeux reflétant la terreur suscitée par la nouvelle macabre. L'état émotionnel de la jeune lionne irritait légèrement le métis. Après tout, elle n'était pas une figure suffisamment importante pour justifier une menace sur sa vie. Sikio avait poussé un soupir, se remémorant les conseils de Vurugu l'encourageant à s'intégrer davantage au sein de sa communauté. Il avait finalement accepté d'accompagner Bosimamiwe, même si la raison pour laquelle la nourrice voulait s'aventurer dans la savane après de telles nouvelles restait obscure à ses yeux.
Sikio traînait la patte, suivant Bosimamiwe jusqu'aux terres du sud, non loin de la sépulture fraîchement creusée pour Kuvira. Une question taraudait l'esprit du métis : pourquoi se retrouvaient-ils précisément dans cette zone? Avait-elle délibérément choisi cet endroit, ou bien était-ce un caprice du destin? Un moment de panique l'avait brièvement secoué. Ce n'était pas tant la peur de la mort qui l'avait envahi, mais plutôt la crainte que Bosimamiwe soit la complice du meurtrier, voire la traîtresse. Si tel était le cas, la prochaine cible pourrait bien être Koliya, et cela, il ne pouvait l'accepter. La mort du métis ne susciterait sûrement pas de larmes, mais il savait à quel point Koliya était une figure cruciale pour Freeland.
Les pensées de Sikio furent brusquement interrompues lorsqu'il repéra une lionne au loin. Plissant les yeux, il n'arrivait pas à identifier clairement cette lionne, ce qui tendit légèrement ses muscles. Le métis chercha à se réconforter en se disant que de toute façon, il ne connaissait pas grand monde à Freeland. Les lions des autres clans étaient une énigme. Peut-être que cette lionne appartenait à Prideland, une alliée potentielle. Quelles que soient les hypothèses qu'il formulait, son corps se crispait davantage à chaque pas que la lionne adverse faisait. À mesure qu'elle approchait, Sikio pouvait voir la haine qui déformait les traits vieillis de l'inconnue. Elle n'était pas une alliée.
Avant même qu'il ait eu la possibilité de dire quoi que ce soit, Bosimamiwe s'était avancée, initiant la conversation avec cette inconnue. Un sifflement s'échappa d'entre les crocs de Sikio, exprimant son mécontentement. Peut-être que sa camarade connaissait cette autre lionne. Cependant, dès que Bosimamiwe prononça ses premières paroles, les sourcils de Sikio se froncèrent, et il lança un regard noir à la nourrice. Il était clair que Bosimamiwe ne connaissait pas cette féline. S'abaissant légèrement, la queue de Sikio battait avec colère derrière lui. Avait-elle perdu tout bon sens?! Cherchait-elle délibérément à se mettre en danger?! Pourquoi s'approcher aussi facilement d'une inconnue après tout les récents événements autour de Kuvira?
Alors qu'il s'avançait d'un pas décidé, le métis fut brusquement stoppé dans sa lancée par les paroles de l'inconnue. Elle prétendait connaître Naqa ? Comment était-ce possible, Naqa était décédée il y a plusieurs années. Sikio n'avait même pas connu sa grand-mère, elle s'était éteinte quelques temps avant sa naissance. Les oreilles du brun bourdonnaient, et son visage se déformait dans une expression sombre. Que signifiaient les paroles énigmatiques de cette étrangère ? Parlait-elle de Chuja, sa mère ? Le souvenir de cette dernière lui revint en mémoire, lui provoquant un hoquet de surprise.
Redressant la tête, il dévoila ses crocs. Comment cela pouvait-il être possible que Naqa soit sa sœur ? Naqa était fille unique. Du moins, c'était ce que Chuja avait toujours raconté à Sikio. En fixant cette inconnue, il sentit sa gorge se serrer. Les traits du visage de cette lionne lui semblaient étrangement familiers, terriblement similaires à ceux de sa propre mère. Qui était donc cette lionne ? Était-elle réellement sa grande tante, comme elle le prétendait ? La malédiction.. Était-elle donc une Boqorada elle aussi ? Pourquoi n'avait-il jamais entendu parler d'elle ? Qui était-elle, bon sang ? Chaque mot de l'inconnue résonnait comme un écho mystérieux, dévoilant des pans cachés de son histoire familiale. Les pensées de Sikio tourbillonnaient dans son esprit, cherchant désespérément à donner un sens à cette révélation inattendue.
Dans un tourbillon de confusion, l'inconnue fondit déjà sur Bosimamiwe avant même que Sikio puisse assimiler la nouvelle. Les griffes déployées, la vieille lionne dégageait une énergie qui défiait son âge avancé. Un rugissement rauque s'échappa des entrailles de Sikio, qui réduisit rapidement la distance entre lui et les deux lionnes en une série de bonds puissants. Ses griffes étincelantes jaillirent de leurs fourreaux, et avec une force déterminée, il fit bélier et percuta les côtes de l'agresseuse, la délogeant de sa camarade. Une série de roulades les emmena sur plusieurs mètres, où Sikio, d'un coup de patte précis, entailla la cuisse de son adversaire légèrement au dessus de sa rotule, de façon à lui neutraliser cette jambe. Se relevant, il se dressa entre la vieille lionne et Bosimamiwe, se redressant de toute sa hauteur dans un air intimidant.
« - Prends-toi en à quelqu'un d'ta taille, vipère, » gronda-t-il, dévoilant ses crocs avec une colère contenue. « - J'te laisserai pas souiller la mémoire de ma famille. »
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Mer 27 Déc - 19:57
Elle m'avait bien amochée avant l'intervention de Sikio la blessure que j'avais saigner beaucoup, le guerrier avait également blessée la lionne à la patte. Je commencer à râler de douleur et ma grand-mère boita car j'étais certaine, que c'était ma grand-mère maintenant pour avoir une telle haine envers mon père. Pourtant j'essayer de rester éveillée pour écouter la voix du mâle dire à son interlocutrice de ne pas souillé sa famille, je ne comprenait pas ce sa famille fessait la dedans. Alors la lionne au regard noir pris la parole
" Comment ça ta famille ? Qui es-tu exactement ? "
" Sikio mon père protégez-le et ramenez-moi au repaire. "
Après avoir parlée mes yeux se ferma je m'étais évanouie à force de perdre mon sang du coup j'ignorais ce qu'il, se passait entre la lionne et le guerrier.
* " Ma petite-fille à raison tu dois la ramener au repaire pour qu'elle se fasse soigner même si je hait, son père c'est pas une raison de la laisser vider de son sang. "
Veyengeri savais être maline si elle voulait tuer Yango elle aussi devait se faire soigner à moins que Sikio, découvre son plan machiavélique. Jouer les victimes était son point fort ce mâle allait faire partie de ceux qu'elle détestait mais elle devait rester, dans son jeu certains Freelanders allait probablement se souvenir d'elle.
* Veyengeri intervient à ce moment-là
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Mon Personnage Espèce: Lion brun de la Savane Âge: 6 ans (novembre) Rang: Chef des Guerriers Alignement: Neutre Relation(s):
Mer 27 Déc - 22:03
AGRESSION D'UNE NOURRICE
FACE À UNE LIONNE REMPLIE DE HAINE
ft. Bosimamiwe & Vanyengeri (PNJ)
L'imposant lion brun se dressait comme un rempart entre les deux lionnes, ses griffes étincelantes déployées et ses crocs exposés, prêt à affronter cette vipère si elle osait encore s'en prendre à Bosimamiwe. La tension qui parcourait son corps faisait dresser sa fourrure, gonflant sa crinière et lui conférant une présence encore plus impressionnante. Sikio n'accepterait aucun meurtre en sa présence, que ce soit celui du père de Bosimamiwe, dont l'identité lui échappait, de Bosimamiwe elle-même, ou de quiconque d'autre. Sa queue battait l'air derrière lui, exprimant son mécontentement général. Il avait eu raison; accompagner Bosimamiwe avait été une mauvaise idée. Peut-être étaient-ils face à l'assassin de Kuvira, bien que le guerrier en doutait ; la lionne était vieille et probablement assaillie par l'arthrose, elle n'aurait jamais tenu une seule seconde face à la cheffe des guerriers de Prideland, réputée pour sa force et sa carrure. Mais peut-être n'était-elle pas seule, peut-être que ses complices se cachaient un peu plus loin. Malgré ce qu'il en pensait, il était évident que l'inconnue était animée par une vendetta personnelle.
L'inconnue l'épiait, le questionnant quant à sa famille, cherchant à percer le voile de son identité. Un grondement sourd s'échappa de ses babines alors qu'il serrait les crocs, son expression sombre et son regard empreint de noirceur. Qui était-elle pour poser de telles questions ? Que cherchait-elle à accomplir en se mêlant des affaires de sa famille, sans avoir la moindre attache ? Avait-elle, elle aussi, l'intention de mépriser le métis pour ses origines ? Si l'on suivait sa logique, cette vieille lionne serait sa grand-tante, la sœur de Naqa. Elle serait aussi la grand-mère de Bosimamiwe. Si cela était vrai, cela signifierait que Bosimamiwe faisait partie de la famille Boqarada, une hypothèse foncièrement impossible. Chuja, sa mère, lui avait narré la malédiction, l'informant qu'il devait se considérer chanceux qu'elle l'ait épargné. Si cette histoire était vraie, Bosimamiwe ne devrait même pas exister.
Le tumulte derrière lui s'amplifiait à mesure que la nourrice titubait, créant un vacarme sourd. L'air devenait chargé de l'odeur métallique du sang qui émanait non seulement de la vieille lionne blessée mais aussi de Bosimamiwe. Sikio jeta un coup d'œil rapide, assez furtif pour ne pas perdre de vue l'inconnue qui se tenait face à lui. Le visage de la lionne couleur terre de sienne était maculé de sang, clairement marqué par les sévices de l'agression de la vieille. Quelques mots échappèrent à sa camarade avant qu'elle ne s'effondre. Protéger son père ? Sikio ne savait même pas qui il était, ignorant jusqu'à son nom. Il ne s'était jamais réellement mêlé à la vie de Freeland, il avait appris le nom de Bosimamiwe uniquement lorsqu'ils avaient découvert la dépouille de Kuvira. Freeland était immense, il serait incapable de savoir qui était le père de la nourrice.
« - Mon identité ne te regarde pas, étrangère. »
Sikio reporta toute son attention sur son adversaire, le grondement sourd dans sa gorge résonnait toujours, comme une symphonie menaçante prête à s'exprimer. Cependant, il fut étonné de constater que la vieille lionne en face de lui avait abandonné toute idée de confrontation. À sa grande surprise, l'inconnue semblait plutôt préoccupée par l'état de Bosimamiwe. L'emploi du terme "petite-fille" provoqua un grincement de crocs chez Sikio. Il se tenait immobile, sa posture altière, les yeux perçants fixés sur la lionne, une lueur sombre dansant dans ses pupilles. La situation exigeait qu'il conduise cette lionne devant Ysera, la reine saurait quoi faire de son cas. Le meurtre était interdit sur leurs terres, il ne pouvait laisser partir cette intruse en sachant qu'elle représentait une menace pour l'un de ses camarades.
« - Tu vas venir avec nous jusqu'au Repaire des Lions. » Ses paroles résonnaient avec autorité alors qu'il s'approchait de l'inconnue, gardant toutefois une distance prudente. Il adressa un coup d'œil à la patte arrière inutilisable de la vieille lionne. Même si son membre était immobilisé pour le moment, elle était comme un serpent qui pouvait toujours mordre malgré qu'on lui ait coupé la tête. « - Avance. Tu passes devant. »
Sikio la força à passer devant, une mesure de précaution pour garder un œil vigilant sur elle et anticiper toute tentative éventuelle. Elle semblait bien connaître les Terres Libres, elle n'aurait aucune difficulté à trouver le chemin jusqu'au Repaire des Lions. Faisant volte-face, accompagnant les mouvements de l'étrangère, il s'arrêta à la hauteur de Bosimamiwe, examinant avec un peu plus d'attention son état. Des coupures et des entailles marquaient l'avant de son corps, tandis qu'une blessure plus large et profonde s'étirait sur sa tête, d'où le sang dégoulinait à flot. Un dilemme traversa le regard du métis ; porter Bosimamiwe sur son dos l'entraverait considérablement, le transformant en proie potentielle pour l'inconnue. Si celle-ci s'osait à l'attaquer de nouveau, il serait forcé de laisser tomber Bosimamiwe au sol, risquant d'aggraver son état déjà précaire. Alors, il opta pour la saisir par la nuque. La lionne était plus petite et légère, Sikio n'aurait aucun mal à la traîner sans que l'avant de son corps ne frotte le sol.
« - Avance. » Articula-t-il entre ses crocs, son regard sombre et vigilant scrutant chaque mouvement de l'inconnue, prêt à réagir à la moindre éventualité. Chacun de ses muscles était tendu comme une corde prête à vibrer, et ses yeux fixaient intensément la lionne étrangère, anticipant chaque geste, chaque signe de danger.
Mon Personnage Espèce: Lionne d'Afrique Âge: 8 ans et 5 mois (01/11/24) Rang: Simple membre Alignement: Neutre/Bon Relation(s):
Jeu 28 Déc - 7:31
Au final Veyengeri avait gagner le lion devant lui n'était pas très intelligent selon elle puis grâce à sa petite-fille, elle savait comment il s'appeller et elle se vengera c'était évident. Sikio traîna Bosimamiwe c'est alors qu'elle secoua la tête non mais quel abruti celui-là penser t-elle elle se déplaça difficilement car sa patte, arrière lui faisait mal pendant le trajet elle râla de douleur. Le voyage dura jusqu'au coucher du soleil en même temps avec deux lionnes blessées fallait pas s'attendre à un trajet court et en arrivant au repaire, ils tombèrent sur la mère de la nourrice qui s'inquiéter. La lionne l'a salua avec un sourire machiavélique
" Bonsoir ma chère Libua. "
" Sikio ! COMMENT AVEZ-VOUS OSEZ RAMENEZ CETTE AFFREUSE LIONNE ICI ! DIS-MOI QUE TU N'AS PAS ATTAQUER TA PROPRE PETITE-FILLE ? "
" Oh Libua comment peux-tu m'accuser de la sorte quand je suis arrivée ta fille était déjà dans cet état, peut-être que Sikio a voulu lui faire du mal. "
" Je vois que tu n'as pas changée Veyengeri toujours aussi menteuse que méchante. Donnez-moi ma fille je vais l'amener au guérisseur gardez un œil sur elle et évitez qu'elle s'approche de mon compagnon est-ce clair Sikio ? "
On pouvait voir les deux lionnes s'affronter d'un regard noir saisissant Libua ne croyais pas la version, de la génitrice de Yango si elle était là c'est pour tuer celui qu'elle aimait.
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Dim 7 Jan - 16:57
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Alors que le soleil amorçait sa descente vers l'horizon, ils atteignirent enfin le Repaire. La vieille lionne avait maintenu le calme tout au long du trajet, avançant sans protester, son pas boiteux rythmé par des grognements occasionnels. À leur arrivée, ils furent accueillis par une certaine "Libua", selon les mots de l'inconnue. Sikio n'avait qu'une connaissance superficielle de cette lionne. Il avait entendu son nom dans les discussions concernant la mère de Bosimamiwe, mais en dehors de cela, il n'aurait jamais pu la reconnaître. Elle était assez différente de sa fille, bien que certains traits de son visage rappellent étrangement cette dernière. Les deux lionnes se faisaient face, la vieille étirait un sourire distordu, tandis que la nourrice affichait une expression grave. Le jeune guerrier demeura impassible, son visage arborant une neutralité totale, des yeux vides et une expression désabusée. Tout ce qu'il espérait, c'était de ne pas avoir à intervenir une fois de plus dans un affrontement entre deux lionnes.
L'étrangère salua Libua, profitant de l'instant pour la ridiculiser ouvertement, ses mots visant à lui prendre les tripes. Sikio n'aurait jamais imaginé que, finalement, Libua se retournerait contre lui. Ses sourcils se froncèrent progressivement à mesure que la nourrice déversait ses paroles. L'une de ses babines se tordit, révélant davantage ses crocs. Qui cette lionne croyait-elle être pour lui donner une leçon, comme s'il n'était qu'un lionceau égaré ? La véritable question n'était pas tant "comment" il avait osé ramener la lionne, mais plutôt "comment" il avait sauvé la vie de Bosimamiwe, la mouflette de sa voisine. Le bout de sa queue fouettait l'air derrière lui, de gauche à droite, témoignant de son agacement. Encore une fois, on semblait minimiser ses actions louables pour le blâmer sur ses erreurs.
La nourrice détourna finalement son attention du lion brun pour la diriger à nouveau vers l'étrangère. Dans ce ballet d'accusations, la vipère se tissait un tapis de mensonges, manœuvrant avec une habileté déconcertante pour placer Sikio comme le coupable désigné. Chaque mot, chaque geste de cette inconnue et de Libua irritait davantage le métis. Ses muscles, tendus comme des cordes de violon, réagissaient à son agacement. Les oreilles de Sikio se replièrent sur elles-mêmes, tandis que son regard s'assombrissait un peu plus. Au milieu de ce jeu malsain entre les deux lionnes, Sikio ressentait un profond ras-le-bol. Ces jeux d'accusations, ces subtilités trompeuses, il en avait assez. Il en avait assez de tout le monde. La nourrice finit par dévoiler le nom de l'étrangère : Vanyengeri. Pour Sikio, c'était un nom inconnu, une preuve supplémentaire que cette étrangère ne tissait que des mensonges. Elle n'était pas la sœur de Naqa, cela était désormais une certitude incontestable.
Libua s'avança d'un pas ferme vers Sikio, qui avait délicatement posé Bosimamiwe sur le sol depuis plusieurs longues minutes. Il observait les deux lionnes s'échanger des paroles acerbes, se perdant dans l'empoignade verbale qui faisait rage. Les paroles de la nourrice résonnaient comme des ordres impérieux, mais le métis n'y fit rien. A la place, un grondement sourd échappa de sa gorge, un grondement qui exprimait clairement que ces paroles autoritaires ne trouvaient aucun écho en lui. Elle n'était ni son lieutenant, ni son chef d'escadron, encore moins sa reine. Aucune hiérarchie ne liait Sikio à cette lionne, et il n'avait aucune intention de se plier à ses ordres déplacés. Qui était-elle pour prétendre dicter sa conduite? Il n'avait pas la moindre idée de l'identité de son compagnon dans cette mêlée, et, à vrai dire, il s'en foutait éperdument. Roulant des yeux, Sikio fit volte-face quand la nourrice s'éloigna avec le corps inerte de sa gamine.
« - Toi, avance. » dit-il à la vipère.
Il lui ordonna de poursuivre la marche, se plaçant en arrière de Vanyengeri, tel un cicérone la conduisant vers la tanière de la Reine Ysera. Sikio était bien conscient qu'il n'était nullement en position de décider du sort de cette inconnue, tout comme Libua n'avait aucun droit de décréter les événements. Seuls Ysera et les membres de son conseil pouvaient prétendre à une telle autorité. La queue du métis oscillait toujours derrière lui, chaque mouvement dévoilant son agacement grandissant. Il aspirait à ce que cette affaire soit réglée au plus vite, désireux de retrouver une paix qu'on lui refusait depuis trop longtemps. À cet instant, il se jurait intérieurement de ne plus jamais s'aventurer dans les terres accompagné d'une lionne, que ce soit Bosimamiwe ou toute autre. Les ennuis qui en découlaient étaient bien trop lourds à porter. Devant la majestueuse tanière, il annonça sa présence à la reine, avant de disparaître avec Vanyengeri dans l'une des alcôves.