C’est la nuit. La pleine nuit, celle où le vent froid souffle dans ton pelage et te fait frissonner. La nuit noir, sans lune, même elle, elle n’ose pas se montrer. Tout comme les étoiles. Juste de gros nuages gris/noirs. Comment j’ai eu l’idée de sortir par un tel temps ? Non je dirais plus, pourquoi je ne suis pas rentrée plus tôt au repaire. Me voilà donc au milieu de nulle part, dans la nuit la plus complète. Il n’y a aucun bruit pour l’instant et cela me rassure. Mais dès que je vais entendre ne serais ce qu’un bruissement de feuilles, je vais sursauter.

Le bruit du clapotis qui se rapprochait m’indiquer que je me trouver près d’un cours d’eau. Me voilà partie dans la mauvaise direction. Car si je suis là où je pense, je suis mis dans un sacré pétrin. Un sifflement d’animal aquatique creva le silence. Je me stupéfiai sur le champ, n’osant plus bouger un poil. J’ai bien entendu ? Oui, un crocodile. Je suis bien partie dans le sens inverse. Quel crétin. En même temps, de nuit, j’ai du mal à m’orienter. Dans la pénombre, j’avance sur la pointe des coussinets pour ne pas me faire repérer. Mais c’était bien trop tard, les reptiles avaient senti mon odeurs. Ils attendant juste que je m’aventure dans leurs territoires. L’eau brunes, sans reflets magnifique qu’on peut trouver dans un étang dans la jungle, ou d’une cascade.

Essayant de m’en aller sans faire trop de bruit, je sentis la présence de quelqu’un. Puis son odeur me vient. Mais elle fut rapide, je n’arrive pas à savoir ce que s’est. Je restai au aguets et surveilla autour de moi. Le bruit des herbes qui bouger me fis tendre le cou. Non ce n’est que le vent. Aller Itan arrête de flipper. Mais un bruit de pas non loin de moi me stoppa dans ma marche silencieuse. Cette fois je n’arrive pas à me rassurer. Il y a quelqu’un dans les parages. Une hyène, un lion un quelconque autre animal ?

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Un ombre sortie de la brume. Un lion du coin surement. Je humai son odeur. Oui un Outlanders. En effet je suis arrivé sur leur terre. Je me tiens à l’aguet. A tout moment il peut choisir de me sauter dessus pour vouloir me faire fuir hors de leur territoire. Il sortait de la brume à pas lent, le visage fermé.

- Qui es-tu, Freelander ? Que fais-tu ici en pleine nuit ? Surtout chez les crocodiles ! Sais-tu seulement que tu violes de nuit un territoire qui n'est pas tien ? Tu n'as rien à foutre ici, et je te conseille de dégager sur le champ, sinon, tu sauras pourquoi tu ne dois pas venir en pleine nuit chez nous !!

Il venait de s’adressait à moi d’une voix grave, un ton menaçant. Il avait vraiment l’air sur de lui. Tellement sur, qu’il venait de me sortir limite toute un discourt. Je sais très bien que je ne suis pas sur mon territoire, alors pourquoi se sent-il l’obligation de me le rappeler ? Qu’il me prend pour un lion qui n’oserait faire de mal à personne et il verra à qui il a à faire. Je peux me montrer calme et patient voir même parfois je prends sur moi.

Un sifflement retendit dans le noir complet. Les crocodiles restaient dans leur eau tiède et boueuse sans bouger. Mais ils sembler vouloir faire rappeler leur présence. Des bruits de glissements, crève de temps en temps le silence qui était limite déstabilisant. Je suis trop habituer aux chants des cigales et autres petites insectes, rampant et volant. Je restais planter là, sans broncher, le regard froid et imperturbable, même avec le conseil de l’inconnu me disant de partir.

- Sa t’avancerait à quoi de savoir mon nom ? Et pour ta gouverne, je sais très bien que je ne suis pas ici chez moi.

Je finis ma phrase sur un air dédaigneux. Je ne voulais pas donner mon identité à n’importe qui. Ce lion ne me semble pas sur ni de confiance au premier abord. Il apparait et te grogne de dégagea de chez lui. Non, il ne m’inspire vraiment pas. Je gonflais mon poitrails ce qui me permis de lâcher un long bruit roque. Un bruit sourd, qui vient de mes entrailles. Je couchais les oreilles.

- Mais toi qui est-tu pour me parler sur ce ton ? Outlander.

Je dis ceci avec dégout. Il venait de m’irriter. S’il y aurait était plus souple à mon égards, mais tout en me conseillant de partir, je me serais montrer plus indulgent.

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En effet je me trouver point chez moi et d’après le lion je devrais me taire et faire profil bas. Fuir la queue entre les pattes ? Non ce n’est pas vraiment mon genre. Arrive-t-il à faire facilement sa loi ici en repoussant tous les lions qui passent dans le coin ? Surtout, je me demande comment il arrive à vivre en compagnie des crocodiles. Comment il a fait pour qu’il ne le dévore pas alors que tout les autres lions savent très bien qu’il faut faire attention à ses gueules pleines de dents. L’inconnu me dit de faire profil bas et de faire preuve d’humilité pour sauver ma peau. Se croit-il de bon conseils à ce point, je sais encore sauver ma peau comme un grand.

Le lion, continué à me tourner autour, comme s’il tenait réellement sa proie dans ses filets. Je rester néanmoins toujours sur mes gardes, a gardé le lion dans ma ligne de mire mais aussi les crocodiles. Je vous avoue que c’est quelques chose de compliquer de surveiller plusieurs personnes à la fois et qui sont prêts à vous sauter dessus à la moindre envie.

- De plus, tu peux bien constater, même sans les voir, que je ne suis pas seul. C'est maintenant qu'il faut penser à être humble devant nous. Car tu n'es pas là où tu es censé être mon p'tit, et tes "hôtes" ne sont pas très extravertis.

Ce lion avait vraiment l’air sur de lui. Il est donc si proche avec ses crocodiles ? Pourquoi n’est-il pas avec un groupe de lion. Ce n’est pas naturel de trainer avec des prédateurs qui sont nos rivaux. Je ne m’indignai pas à faire ce qu’il attendait de moi. Je continuai à le fixer les yeux encore curieux de son comportement. Je me gonflai voulant me rendre plus imposant. Je sais que je n’ai pas une forte musculature, ni une taille impressionnante, non je suis de taille basique avec une morphologie basique. Donc je voulais me rendre plus imposant, c’était mon seul moyen de peut-être avoir la paix. Mais je ne pense pas que cela marcher.

J’entendais des glissements hors de l’eau. Des bruits d’animaux qui rampaient. Les reptiles sortaient de l’eau. Mais ils restaient toutefois hors de ma vision, éloigner de moi tout en gardant une distance de sécurité. Ils étaient tapis dans les autres herbes qu’on retrouve près des cours d’eau seulement. Je savais que je n’étais pas sur de ressortir de cette mise en scène. Car cela avait tout l’air d’une histoire à faire peur au lionceau qui n’est pas sage et qui s’aventure trop loin. Mais je ne suis plus un lionceau et ne n’ai plus peur, enfin je crois …

- Pourquoi tu te montres si agressif ?

Ce genre de comportement m’est totalement étrange. Être aussi brut de parole me dérange. Mais ce lion me semble différent, il a l’air de cacher quelque chose. J’aimerais beaucoup lui parler plus calmement mais les crocodiles continuer à vagabonder autour de nous, cela me rendais trop nerveux. Je ne suis pas apte à rester calme dans ses conditions. Je fis quelque pas pour ne pas rester sur place et ainsi me rendre plus vulnérable. Je fis des pas sur le côté et ainsi cela fit un cercle avec l’inconnu qui tourner lui aussi.

- Écoute, je le sais que je ne suis pas ici chez moi et que je ne suis pas le bienvenue. Je ne suis pas du genre à venir me pavaner sous le nez de personnes que je ne connais pas et de plus de nuit.

Je venais de lui dire ce que je penser vraiment. Je n’ai pas envie de finir en morceaux car oui je commencer a vraiment craindre cette endroit. Il faut vraiment que je pense de ne plus venir ici de nuit. Encore de jour c’est plus simple, on peut anticiper. Je lui parler d’une voix calme et assurer. Je ne perdais aucun de mes moyens. Je continuai donc et sur un aveu.

- Pour tout te dire … je me suis perdu.

Je ne baissai pas les yeux, comme certains aurait fait. Non j’essayai de scrutai son visage en proie a une réaction de sa part. Se moquera-t-il de moi ? Je m’y attends fortement. Mais au moins il s’est que je ne n’ai aucune attente malveillante envers lui.

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Le lion semblait vouloir protéger son territoire. Oui il avait l’air de dire que c’était le siens. Qu’il se l’était approprié. Mais comment a-t-il fait cela m’intrigue. J’ai bien crus comprendre qu’il avait des relations très froides avec les autres lions. Il me semble louche aussi. Je reste craintif et sur mes gardes. Oui car les crocodiles qui était maintenant presque tous auprès de nous, m’oppresser. L’inconnu m’assis devant moi tout en gardant son regards dur et une voix impénétrable dans la détection des émotions.

- Notek! Remballe tes crocos, et décampez !

- Kssss, un intrus est un intrus, il ne peut pas survivre ici. On doit le tuer !

- Permets-moi de te rappeler que ton rôle officiel est d'être mon "aide de camp" donc en rien tu n'es habilité à discuter mes ordres, est-ce clair ?! Ta place est d'obéir aux ordres émanant de Sobek ou moi-même ! Alors tu obéis et tu la ferme !!

Je venais d’écouter leur conversation sans broncher. Je n’ai seulement bougé la tête que pour regarder le match que le lion entretenait avec un crocodile. Il avait l’air de s’appeler Notek. Quand il parlait, sa ressembler beaucoup plus a des sifflements rauque. Le lion avait l’air d’avoir vraiment une place importante au sein du groupe des crocodiles. M’enfin je ne dis rien car pour le moment le mâle ne veut pas que les crocodiles me mange. Me voila rassurer pour quelques temps encore.

Les crocodiles se mirent alors à rampaient dans l’eau. J’eux peur pendant une mince seconde. Oui, car ils auraient pu se retourner au ordre de leur colocataire. Mais non, ils partirent tout simplement plus loin, barboter dans l’eau. Je regardais fixement le lion aux crins presque noirs. Il avait l’air de me fixer lui aussi, comme s’il cherchait à savoir mes vraies intentions. Je n’avais pas bougé en attendant une quelque conque réaction de sa part.

Il se mit alors à me parler. Il m’expliquait alors son pacte avec les reptiles. Ils pouvaient rester parmi eux en échange de services, qui était leur livrés des informations sur leur frontaliers. Il devait les observer. Ainsi le lion pouvait vivre pleinement ici. Il m’expliquait aussi qu’il s’était pris d’amitié pour le chef des crocodiles. Il me dit alors son identité. Je peux désormais mettre un nom sur son visage. Chombo Hiki, ou plutôt Chombo car il n’aime pas son nom complet. C’est étrange de ne pas aimer son nom. Il voulut savoir en finissant son speetch, la vrai raison de ma venue ici, et alors comment j’ai pu vraiment me perdre surtout à cette heure-là. Je laissais un petit moment de suspends d’un petit silence. Puis je pris une longue respiration.

-Pour ma part, je me nomme Itan.

Je ne détournais pas le regard et continuais sur ma lancer.

-Je déambuler et la nuit est tombé. Je me suis trompé de chemin pour le retour. Voila donc la raison de la venue ici. Ensuite je me suis rendus compte de mon erreur de trajectoire assez tard, c’est pourquoi je suis ici aussi tard.

Je venais de dire la stricte vérité. Si après ça, je ne suis pas un lion honnête. Maintenant que je dialogue était poser et que nous étions tous les deux assis, plus à l’aise pour parler je me laisser alors aller pour en savoir plus sur Chombo qui m’intrigue tellement. Le départ des reptiles m’avaient rendus moins tendus est plus apte.

-Pourquoi tu vie ici, reculer des clans des lions ? Qu’est ce qui te pousse à préférer la compagnie des reptiles froids et vicieux que de tes congénères de notre espèce ?

Je parler d’un ton calme et sincère dans le faite de vouloir savoir. Je me levais pour me rapprochais de lui de quelques pas et m’assoir à nouveau.

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-De plus en plus de lions se perdent ces temps-ci...j'ai entendu par ailleurs certaines rumeurs comme quoi des crocodiles auraient été agressés. Tu comprends la réticence de mes "amis" à présent.

Il n’avait pas vraiment répondus à ma question. Ce qui me tendit légèrement. Je n’arrivais pas vraiment à cerner le personnage qu’il était. Voulait-il faire passer un message par-là ? Que les lions font exprès ou semblant de se perdre pour venir ici et espionner ? C’est assez rechercher certes, mais je ne suis pas ce genre de lion. Je crois que Sharkan n’arrivera jamais à aller me faire espionner quelque pas. Je ne suis déjà pas discret de base alors je n’imagine pas la suite.

Je regardais Chombo, il avait l’air de chercher quelques choses. Il tournait la tête un peu partout dans le noir. Que cherche-t-il ? Ses copains ? Il se sent peut-être vulnérable sans eux. Personnellement, je suis content qu’ils soient partie un peu plus loin car je me sentais vraiment mal à l’aise avec eux dans le coin. Puis il posait son regard sur moi. Il était neutre. Il s’adressa de nouveau à moi avec une certaine froideur de doute.

- Fais attention à ce que tu dis. Ils ont beau être partis, ils n'en ont pas moins l'ouïe fine et tu n'en restes pas moins non plus sur leur territoire. Et une bande de crocos énervés n'est jamais facile à tenir en place même si certains me respectent.

Avait-il lut dans mes penser pour dire ça ? Mais il est vrai que je garde en compte son avertissement. Je vais donc me retenir de dire du mal d’eux. Déjà que j’ai dit qu’il était froid et vicieux, même si je suis sûr qu’ils vont prendre ça pour des compliments. Je n’aime vraiment pas les crocodiles, je ne vais pas non plus faire des éloges sur eux. Mais je voyais de la part de Chombo que ce n’était pas une menace en soit. Je me garde donc de répondre et attendis vraiment ce que je voulais entendre.

-Maints lions m'ont démontré qu'il fallait mieux éviter de faire confiance à nos semblables. Les crocos ont beaux être vicieux ils sont surtout méconnus de nous autres, félidés. Je pensais comme toi en arrivant ici, puis j'ai appris à avoir un avis différent : ils sont nos égaux dans la chaîne alimentaire, certes, mais il y a de bonnes raisons à cela. Je vais me contenter de te dire que la personne à laquelle nous puissions le plus faire confiance en ce bas monde sera toujours celle qui saura le moins de chose sur toi. Ils ne savent rien de moi, ou très peu de choses, et ils m'ont accepté et je les respecte. Et puis, je pense que vu la situation de pays d'origine, tu penses comme moi : on ne sait jamais à quels lions se fier, pas vrai ? Ton chef...sa réputation dépasse largement les frontières de Freeland. Et ses sbires sont plutôt du genre arrogants, ce que tu ne sembles pas être. Et tu penses comme moi, j'en suis sûr, concernant le territoire à nous, où nous sommes libres. Ce territoire est difficile à obtenir, et Freeland est directement concerné par ce discours. Vous n'êtes plus libres par chez vous, même lorsque vous êtes dans ce vous prétendez être votre "chez vous" où personne ne vous y embêtera. Tu as beau ne pas m'aimer, et je sais t'en avoir fourni mille et une raisons, mais ce que j'ai appris pendant mon long voyage n'est que la vérité : les Terres Libres n'ont plus rien de "libres".

D’un côté Chombo a raison. Les lions peuvent se montrer fourbe et sans pitié, faisant preuve de trahison pour arriver à leur fin. Puis quand il a parlé de Sharkan, je n’ai pu me retenir de faire une moue de dégout. Oui, Chombo a tout à fait raison, nous ne sommes plus libre chez nous, même sur notre territoire. Les terres dite « Libre » ont perdu tout leur sens et ne sont maintenant que souvenir. Ce lion semble en savoir pas mal, il a dus beaucoup voyager pour avoir obtenue toute ses informations, car ne pense pas que ce soit les crocodiles qui lui on refiler ses info. Mais quelque chose que le félin venais de dire me déplu. Il avait tort sur un point.

-Pourquoi penses-tu directement que je ne t’aime pas ? Je ne juge pas une personne sans la connaitre, même si celle-ci se montre assez peu enclin à discuter aux premiers abords.

Je venais de lui dire tout ceci sur un ton calme et serein. Ma tension était tombée et j’arrivais à me décontracter totalement. Je baissais la tête, songeur et regardais mes pattes. La réalité est assez effrayante. C’est vrai, les terres libres ne sont plus ce qu’elle était et elles ne risquent pas de redevenir comme avant. Je n’ai peut-être pas connue leur heures glorieuses, car j’étais trop petit mais ma mère m’en a tellement parler.

-Tu à raison de vivre ici, c’est assez intelligent. D’un certain côté, tu n’es plus obliger de subir la politique que font subir les rois aux clans. C’est intelligent de cohabiter avec les crocodiles. C’est malin d’avoir réussi. D’un côté, j’ai une pars de respect pour toi.

Tout mes mots était vrai, aucun ne sonnait faux, je ne voulais pas l’amadouer comme aurait essayé surement d’autre lion, pour sortir ici vivant. Les paroles et la présence de Chombo me faisait beaucoup réfléchir. Je levais la tête vers le ciel. On ne voyait même pas les étoiles, rien, une nuit si noir, si triste. Il faudrait que je pense à rentrer tient. Certes, ils ne font pas l’appel au repère des lions mais Sharkan se rend compte quand quelqu’un n’est pas là depuis un bout de temps.

-Je pense que je devrais y aller. Ce n’est pas que ta compagnie me gêne, loin de là, mais je n’ai pas dormie depuis plus d’une journée et je commence à être totalement épuiser. De plus, je vais devoir encore marcher pendant un long moment pour retourner chez moi. Surtout, qu’ici je ne suis pas très bien vu par les habitants, je ne voudrais pas les importuner encore plus.

J’avoue que je m’en ficher un peu de l’avis des crocodiles, je disais simplement cela pour pouvoir partir sans à avoir une paire de dents qui se plante dans mon jarret. Je fis un léger sourire à Chombo, signe de remerciement. Car, j’ai peut-être eu une brève discussion avec lui, mais au moins, ce court échange vu intense dans le faite que j’ai un peu plus ouvert les yeux, une fois de plus, sur le tyran de freeland.

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-Je ne te demande ni de m'apprécier ni de me respecter. Je n'ai que faire de ce que tu pourras ressentir pour moi. Je n'agirai pas en fonction de ce que les autres penseront de moi, mais uniquement en fonction de ce que moi-même penserai de mes actes. Et cela, personne ne pourra orienter mon opinion envers ce que je fais ou ne fais pas.

J’étais étonné de sa réaction. Son comportement m’agacer et j’avais qu’une envie c’était de me casser d’ici. Les crocodiles, la nuit, ce lion pas très sympathique. Non vraiment c’était trop pour moi, je ne me sentais réellement pas en sécurité. Chombo se proposait de me raccompagner à la frontière de peur que je me perde une nouvelle fois. Il me prend vraiment pour un lionceau attardé et assisté lui alors. Je ne suis pas dans ce genre de cas et sa me vexer. Mais je me reviens de dire ce que je penser au fond de moi, car je voulais partie au plus vite d’ici.

Chombo se mis en route et je le suivis sans dire un mot. Je n’avais plus envie de m’exprimer car il trouverait encore un moyen de me contredire ou de me rabaisser. Je n’ai pas envie de m’énerver et de partir sur ça. Cependant le chemin était long et puis mon interlocuteur marcher à pas lent, comme s’il ne voulait pas se mouiller les pattes. Je roulais des yeux et continuer à le suivre lentement sans dire un mot.

A un moment, l’odeur des marais commencé à me quitter les narines. L’odeur fraiche de la plaine arrivée par des petits coups de vent de temps à autre. Nous voilà pas loin, même s’il vous a fallu un certains temps de marche pour y arriver. Je sourie légèrement. Enfin je vais pouvoir retourner chez moi et quitter ces eaux néfastes. Il faut que je retienne, ne plus venir par ici, c’est mal vu et mal fréquenter. Même les lions qui s’y trouvent ne sont pas commode. Je me stoppais et crevais le silence.

-Il me semble que c’est là que nos chemins se s’éparent, merci de m’avoir ramené jusqu’à la frontière.

Sourire crisper et fausses politesses. Je m’en fiche qu’il s’en aperçoive, je ne veux plus être en sa compagnie. Dire que j’en ressors vivant. Les crocodiles ne m’ont pas mangé. C’est bien ma veine. Je soupirais et repris ma marche en route vers mon chez moi, qui se trouve encore pleins loin. J’y serais surement dans la fin d’après-midi de demain ou voir plus. Je n’ai qu’une envie c’est de me mettre sur un rocher et de dormir sur la surface chaude du repère des lions. Rien que d’y penser cela me motiver. Si j’ai de la chance, j’arriver pour l’heure où les lionnes rentres de la chasse.

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