Mon Personnage Espèce: Lion d'Afrique Âge: 3 ans ( Mai 2020 ) Rang: simple membre Alignement: Neutre Relation(s):
Jeu 25 Avr - 14:09
— Une pente pentue —
Le jour s'était levé depuis une bonne heure et les oiseaux en avaient perdu le souffle tant ils avaient chanter, pourtant, Jogoo n'était toujours pas éveillé. Allongé contre la roche froide de sa tanière, là où auraient dû se trouver son père, sa mère et ses sœurs, il se trouvait seul. Pas étonnant, aujourd'hui, c'était aux filles de s'entraîner avec le grand Akhez et Jogoo en avait profiter pour dormir un peu plus. Mais, bientôt, le mouvement du soleil fut tel que la lumière de celui-ci se posa sur les paupières closes du jeune lionceau. Celui-ci gronda et fronça son museau grisâtre, se dressant avec lenteur sur ses pattes. Il bailla, puis sortit. La journée ne s’annonçait que trop ennuyeuse. Après tout, il n'avait personne avec qui passer le temps, lui, vu que son temps était occupé à l'entraînement. Il n'avait jamais sut faire des rencontres et ne savait pas comment s'y prendre. Alors, aujourd'hui, il fut décidé qu'il explorerait un peu les coins du Freeland qu'il n'avait jamais vu. Taciturne comme à son habitude, il se dressa sur ses quatre pattes et commença à trottiner. Il recouvra un semblant de sourire en voyant un jeune oiseau passer et que, tout enfant qu'il était, il tenta de l'attraper. C'est probablement ainsi qu'il oublia de regarder le sol sur lequel il courait. Sa patte se posa sur le vide et, s'étonnant du fait que le sol n'était plus palpable, Jogoo n'eut que le temps de baisser les yeux avant de tomber, trahit par son élan. Il dévala une pente douce et rocheuse pour s'écraser au sol, plus bas, contre un nouveau mur de fourrure. Retombant sur le flanc, il grogna et s'ébroua.
" Fichtre... T'pourrais pas faire attention, toi ?! " Miaula-t-il à l'attention du lion qu'il avait percuté.
Une Pente Pentue Vient un moment de la vie — mais lequel ? Il diffère pour chacun, très tôt pour les uns, très tard pour les autres, parfois jamais pour de rares élus comblés, mourant les mains, la mémoire et le cœur pleins —, vient donc un moment de la vie où nous nous apercevons que les amitiés, les amours, les sentiments et jusqu'aux mots et aux noms que nous croyons perdre par une sorte de maladresse déprimante, en réalité nous quittent d'eux-mêmes, animés d'une sournoise volonté de fuite. ••• Le ciel semblait chanter de son bleu alarmant, presque aussi chaud et profond que le soleil qui berçait la Terre des Lions. Kamau était déjà dehors, à la bonne heure ! C'était d'ailleurs étonnant, d'habitude il aimait roupiller dans sa tanière, profitant de la fraicheur des roches et de la brise matinale. Il errait près des siens et avait quitté sa mère et sa sœur tôt ce matin. Qu'allait-il faire ? Regarder les lionceaux s'amuser ? Faire de nouvelles rencontres ? En fait il ne savait pas, alors il se contenta d'avancer calmement parmi la terre chaleureuse et sèche. Que faire ? Telle était la question ultime qui trottait dans sa tête. Le grand mâle posa une patte devant l'autre, un air taquin sur son visage, avec un léger haussement de sourcil. Il ne se préoccupait absolument pas de ce qui l'entourait, oubliant le chant des oiseaux, le cri joyeux des lionceaux, et le soleil qui vint lui caresser sa douce et élégante crinière. A tel point qu'il s'efforça de regarder devant lui, manquant de trébucher. Quel abruti. Tandis qu'il se promena, le lion ne remarqua pas la jeune âme innocente qui arrivait. Sans avoir le temps de réagir, il entendit un bruit qui le fit tourner la tête, avant d'être percuté.
"HHHMMMFFfff" cria-t-il par surprise en ayant un mouvement de recul. - Fichtre... T'pourrais pas faire attention, toi ?!
Un petit lionceau tentait de se relever, enveloppé d'une légère couche de poussière. C'est qu'il ne se prenait pas pour n'importe qui celui-là ! Ceci dit, Kamau se contenta de se remettre correctement, secouant sa crinière en aidant le lionceau à se relever.
- Dit donc jeune garnement, veux-tu bien descendre d'un ton ? rétorqua-t-il doucement avant de lui lancer un petit sourire, ni toi ni moi ne cherchons la guerre, n'est-ce-pas ? Je le reconnais, si j'avais été plus attentif je t'aurais sûrement vu. Et toi, tu aurais pu faire attention où tu mettais les pattes."
Le lion s'assit près du lionceau. Sa tête le lui était inconnue. - Comment t'appelles-tu ?
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Kamau
Jogoo
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Mon Personnage Espèce: Lion d'Afrique Âge: 3 ans ( Mai 2020 ) Rang: simple membre Alignement: Neutre Relation(s):
Mar 30 Avr - 10:55
Ce fut un grand lion brun que notre cher Jogoo avait percuté. Après que le petit l'ai verbalement agréssé, celui-ci secoua sa crinière bouclée et aida d'un coup de museau le petit gris à se remettre sur ses pattes. Mais malgré ça, cela n'enleva pas sa mauvaise humeur. Il fronça le museau et regarda ailleurs, l'air tout à fait dédaigneux alors que l'adulte se mit à parler.
" Dit donc jeune garnement, veux-tu bien descendre d'un ton ? ni toi ni moi ne cherchons la guerre, n'est-ce-pas ? Je le reconnais, si j'avais été plus attentif je t'aurais sûrement vu. Et toi, tu aurais pu faire attention où tu mettais les pattes. " Et le grand mâle s'assit à côté du petit lion chétif alors que celui-ci roula des yeux. Il comprenait bien sa logique et son envie de ne pas déclencher de conflit, mais ça l'agaçait.
" Comment t'appelles-tu ? " Et à ces mots, Jogoo leva enfin la tête vers son vis-à-vis. Il posa son arrière train contre le sol poussiéreux et leva légèrement le menton, bouffi de fierté quant au nom que lui avait donné son père.
" Jogoo ! Je suis le fils d'Ahkez ! " Et il se retint de dire qu'il était l'hériter des Draegars, clan ancestral que son père tentait de reconstituer. Non, à la place il n'évoqua que le nom de son géniteur, montrant d'une certaine manière sa grande fierté face à ses origines. Et puis, il perdit son sourire si fier pour afficher un air peu définissable. Une sorte de mélange entre la curiosité et l'ennui, alors qu'il dévisagea son interlocuteur.
" Et toi ? Tu es qui, au juste ? " Non pas qu'il ne l'avait jamais vu, mais Jogoo n'avait pas le temps de passer du temps avec son clan, bien au contraire. Son père semblait les haïr tous alors le petit l’imitait.
Une Pente Pentue Vient un moment de la vie — mais lequel ? Il diffère pour chacun, très tôt pour les uns, très tard pour les autres, parfois jamais pour de rares élus comblés, mourant les mains, la mémoire et le cœur pleins —, vient donc un moment de la vie où nous nous apercevons que les amitiés, les amours, les sentiments et jusqu'aux mots et aux noms que nous croyons perdre par une sorte de maladresse déprimante, en réalité nous quittent d'eux-mêmes, animés d'une sournoise volonté de fuite. ••• Ce qui était bien certain, c'est que ce jeune lionceau avait du caractère. Son comportement nonchalant et son regard indubitable ne laissait pas Kamau de forte bonne humeur, mais néanmoins, il conserva un faible sourire qui vint lui arpenter les babines.
" Jogoo ! Je suis le fils d'Ahkez ! Et toi ? Tu es qui, au juste ? "
Le félin détourna le regard un instant. Son interlocuteur avait l'air si fier de prononcer ces mots qu'il se cambra, le poitrail droit. Pour sa part, Kamau s'en fichait, il avait simplement posé la question afin d'avoir les informations nécessaires.
"Moi c'est Kamau, simple Freelander et fidèle au roi. murmura-t-il à l'intention de Jogoo, se léchant ensuite l'une de ses pattes.
Il y avait encore un peu de poussière dans l'air et le grand lion secoua sa crinière ondulée avant de tourner de nouveau son regard vers le petit. Dans le fond il était bien content d'être tombé sur lui, il y avait au moins un peu de piquant dans sa vie.
" Tu as l'air de porter une grande fierté envers ton père, rétorqua-t-il en se rapprochant légèrement de Jogoo, dis moi, tu t'entends bien avec le reste du clan ? Je ne te vois pas jouer avec les lionceaux."
Le lion fronça les sourcils, Jogoo ne paraissait pas si méchant que cela, il était simplement distant et gardait en lui un caractère bien froid.
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Kamau
Jogoo
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Dim 21 Juil - 19:18
" Moi c'est Kamau, simple Freelander et fidèle au roi. " Souffla le mâle avant de se lécher une patte. Jogoo fronça les sourcils sans pour autant dire le fond de sa pensée. Le roi, il ne l'aimait pas et son père encore moins, c'est pourquoi il n'était pas très enclin à apprécier Kamau, présentement.
" Tu as l'air de porter une grande fierté envers ton père,dis moi, tu t'entends bien avec le reste du clan ? Je ne te vois pas jouer avec les lionceaux. " Le brun s'approcha un peu du petit lionceau, fronçant les sourcils. Jogoo baissa les oreilles, il n'était pas vraiment enclin à s'ouvrir au mâle, surtout lorsque lui même ignorait totalement la raison de son isolement. Il pensait ne pas aimer les autres, il ne se doutait pas d'à quel point il était incapable de les comprendre, à quel point l'éducation de son père l'avait mit en décalage.
" Evidemment que je suis fier de mon père ! S'écria alors le lionceau avant de détourner le regard, et les autres ne m'intéresse pas... " Souffla-t-il. A quoi bon s'évertuer à aller vers eux si c'était pour toujours finir seul ? Le jeune lion tordit son visage dans une expression légère de colère.
" Ils sont bête ! " Il tourne le museau vers son aîné, le dévisageant, parlant avec une hargne certaine. " Et puis, ils sont tous fidèle à ce chacal, Haki ! Quelle idée ?! " Il roule des yeux et se leva pour s'ébrouer, comme si ce geste pouvait lui permettre de chasser son agacement.
Une Pente Pentue Vient un moment de la vie — mais lequel ? Il diffère pour chacun, très tôt pour les uns, très tard pour les autres, parfois jamais pour de rares élus comblés, mourant les mains, la mémoire et le cœur pleins —, vient donc un moment de la vie où nous nous apercevons que les amitiés, les amours, les sentiments et jusqu'aux mots et aux noms que nous croyons perdre par une sorte de maladresse déprimante, en réalité nous quittent d'eux-mêmes, animés d'une sournoise volonté de fuite. •••
" Evidemment que je suis fier de mon père ! Et les autres ne m'intéresse pas... "
Le regard déterminé du lionceau rendit Kamau perplexe, était-il à ce point sous l'influence de son père ? Pour son jeune âge il ne perdait pas une miette d'autorité et de confrontation, sous peu qu'une brise de mots insensés viennent lui percuter les oreilles. Le lion fixa toujours son interlocuteur, le jugeant intérieurement. Il y voyait un soupçon de peine, il devrait jouer avec les autres et profiter de Freeland.
" Ils sont bête ! Et puis, ils sont tous fidèle à ce chacal, Haki ! Quelle idée ?! "
Le félin détourna le regard en haussant les sourcils. Comment osait-il parler sur ce ton du roi ? Kamau, étant très fidèle à ses origines, secoua sa crinière en poussant un léger gémissement.
"Allons ne dis pas de sottises. Ils sont loin d'être bêtes, et Haki est un roi respectable !" gronda-t-il en prenant une voix rauque.
Il regarda l'horizon, détestait-il vraiment son clan ? Kamau ne voulait pas se montrer violent envers Jogoo, il garda une certaine neutralité, essayant d'en apprendre plus sur ce dernier.
" Si tu n'es pas loyal envers ton clan, il ne le sera jamais avec toi, et tôt ou tard tu te retrouveras seul. répliqua-t-il en plongeant son regard doré dans celui de Jogoo, Le royaume dans lequel tu vis est loin d'atteindre une grande prospérité, mais c'est ici que tu grandis. Je parie que ton père hait la famille royale, et tu en fais autant, n'est-ce-pas ? "
Kamau eut un léger sourire et essaya de rapprocher le lionceau avec l'une de ses pattes. Bien qu'il se montre très arrogant et nonchalant, le mâle y trouvait une brise de compassion, très légère, mais elle était là et il voulait la faire sortir.
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Jeu 1 Aoû - 11:25
" Allons ne dis pas de sottises. Ils sont loin d'être bêtes, et Haki est un roi respectable ! " Gronda le grand mâle. Jogoo fronça le museau et grimaça. Comment osait-il le gronder, ainsi ? Il n'était pas son père, après tout.
" Si tu n'es pas loyal envers ton clan, il ne le sera jamais avec toi, et tôt ou tard tu te retrouveras seul. Le royaume dans lequel tu vis est loin d'atteindre une grande prospérité, mais c'est ici que tu grandis. Je parie que ton père hait la famille royale, et tu en fais autant, n'est-ce-pas ? " Ajouta-t-il en s'avançant légèrement. Jogoo recula par réflexe, manquant de tomber en arrière, un peu pataud. Il plissa les yeux, un instant. C'est vrai, Kamau n'avait pas tort sur tout, mais Jogoo ne pouvait pas l'admettre. Sa fierté était trop grande. Alors même s'il était vrai qu'il ne faisait que suivre le point de vue de son père, aveuglément, il ne comptait pas acquiescer.
" Je suis loyal envers mon clan, mais Freeland n'est pas mon clan ! S'écria le petit lion taupe, mon père ne les déteste pas, il déteste ce qu'ils représentent. Il le dit tout le temps. " Il hocha la tête à ses propres dires et releva le museau, bouffi d'arrogance. " Et toi, ton père, il est pour Haki et c'est pour ça que tu es pour lui ? "
Une Pente Pentue Vient un moment de la vie — mais lequel ? Il diffère pour chacun, très tôt pour les uns, très tard pour les autres, parfois jamais pour de rares élus comblés, mourant les mains, la mémoire et le cœur pleins —, vient donc un moment de la vie où nous nous apercevons que les amitiés, les amours, les sentiments et jusqu'aux mots et aux noms que nous croyons perdre par une sorte de maladresse déprimante, en réalité nous quittent d'eux-mêmes, animés d'une sournoise volonté de fuite. •••
Les réactions du lionceau firent grimacer Kamau. En s'approchant de lui, il s'était reculé, manquant de tomber à la renverse.
" Je suis loyal envers mon clan, mais Freeland n'est pas mon clan ! Mon père ne les déteste pas, il déteste ce qu'ils représentent. Il le dit tout le temps. Et toi, ton père, il est pour Haki et c'est pour ça que tu es pour lui ? "
Ses oreilles saignèrent. Kamau souffla un bon coup. Le petit était sous l'influence de son père, il n'avait pas à lui en vouloir, même si au fond, il avait bien envie de lui foutre un coup de patte dans sa tronche de fripouille. Lentement, il arpenta un léger sourire sur ses badigoinces.
"Pourquoi vis tu à Freeland alors ? " demanda le grand brun avant de continuer, les oreilles en arrière, mon père nous a abandonné ma famille et moi il y a de cela très longtemps. Quand j'avais ton âge il m'apprenait à me battre, avec toute la violence et les insultes qu'il pouvait y mettre. Du jour au lendemain il est parti, il n'a jamais été un partisan de Freeland, et encore moins un père. Je me suis fait ma propre opinion du roi, si j'avais suivi mon père je n'aurais jamais connu tout ce dont à quoi et à qui je tiens. "
D'une voix rauque et grave, Kamau avait prononcé ses mots. Jogoo avait encore bien des choses à apprendre, et surtout, son père ne manquait pas de cran pour entraîner son fils dans une pente bien glissante.
" Ahkez ... Oui je l'ai sûrement déjà vu, de loin. Et ta mère ?
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Kamau
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Sam 3 Aoû - 17:56
" Pourquoi vis tu à Freeland alors ? " Demanda l'interlocuteur de Jogoo, avant de poursuivre : " mon père nous a abandonné ma famille et moi il y a de cela très longtemps. Quand j'avais ton âge il m'apprenait à me battre, avec toute la violence et les insultes qu'il pouvait y mettre. Du jour au lendemain il est parti, il n'a jamais été un partisan de Freeland, et encore moins un père. Je me suis fait ma propre opinion du roi, si j'avais suivi mon père je n'aurais jamais connu tout ce dont à quoi et à qui je tiens. " Ces paroles sonnèrent étrangement aux oreilles de notre jeune lionceau. Ce n'est pas la voix du lion qui lui déplu, bien au contraire, mais il ne pouvait s'empêcher de reconnaître son père dans cette description. Bien sûr, Akhez ne l'insultait pas mais les entraînements étaient dur et il ne faisait que très rarement preuve de pitié. " Ahkez ... Oui je l'ai sûrement déjà vu, de loin. Et ta mère ? "
Jogoo déglutit doucement, détournant le regard. C'était une bien longue tirade qu'avait fait le mâle brun, dit donc ! Et le taupe ne savait pas quoi commencer pour répondre. Aussi, reprit-il les éléments dans l'ordre, soufflant ses mots méthodiquement :
" Nous vivons sur Freeland car notre clan vivait ici, avant... " Il releva les yeux, l'air embêté. " J'suis désolé pour ton père. Moi, je sais pas ce que je ferais sans le miens, alors... C'est pas cool d'en avoir un que est méchant ! " Dit-il avec une sincère empathie et ce malgré son côté habituellement taciturne. Et puis, il prit un temps pour repenser à sa mère avant de poursuivre : " Ma mère, elle s'appelle Anaya, tu l'as déjà vu ! Elle est brune comme toi et elle est super gentille ! " Et oui, le caractère doux d'Anaya contrastait avec le côté tyrannique d'Akhez, c'était à ce demander comment ils avaient put finir ensemble.
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