Nous avons tous peur de quelque chose, certains le reconnaissent, d'autres pas. Mais au fond de nous, il y a toujours quelque chose qui nous cause de l’effroi et si ce n'est pas votre cas et bien... D'après Maman c'est que vous êtes idiot. A son avis, il n'y a que les animaux stupides qui n'ont peur de rien, en tout cas c'est ce qu'elle me dit lorsque j'ai peur. Elle reste près de moi, elle me rassure et me dit que plus tard, lorsque j'affronterai mes peurs, ce sont elles qui me rendront plus fort. Alors pourquoi elle n'est pas là aujourd'hui ? D'ailleurs, pourquoi il n'y a personne ? Le camp des Lycaons est remplit d'habitude... Et puis, pourquoi ça sent le bruler ? Voilà toute les questions que je me posais tendit que je trainais sur ma terre natale à la recherche d'un signe de vie. Soudain, une chaleur pesante se fit sentir, en me retournant j’aperçus des flammes et sortant de celle-ci un gros monstre semblable à un serpent géant. Sans attendre je pris mes pattes à mon cou, alors même que la dangereuse créature se lançait à ma poursuite.
Je finis par apercevoir une rivière. L'eau arrête le feu, j'avais une chance de m'en sortir indemne mais à peine avais-je prit mon élan pour bondir que la créature de feu referma sur moi ses mâchoires ardentes.

~~~~~~~~~~

- HAAAAAAAAAAAAA !

Je me réveillais en sursaut, la langue pendante, complètement paniqué. Je regardais à gauche et à droite mais ne vit rien, rien à part Maman qui dormait paisiblement. Je poussai un long soupir et murmurai :

- Ce n'était qu'un cauchemar...

Je levai les yeux au ciel, c'était une belle nuit étoilée. Maintenant je suppose que vous devinez ce qu'est ma plus grande peur... Le feu et les incendies. Je me relever et me mis à tourner en rond avant de me recoucher. Finalement, après quelques minutes à me tourner et à me retourner par terre je me relevai de nouveau. J'avais décidé de faire une petite balade avant de revenir me coucher. Je m'éloignai donc à pas de loup de Maman et me mis à marcher en admirant le ciel remplit d'étoile.

- C'est vraiment magnifique.

C'est alors que j'entendis quelqu'un s'approcher.

Prepare for trouble, make it double !


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Anciennement - Papy Fleck

Il faisait nuit. La brise était fraiche. Le temps semblait s'être ralentit. Tout comme le cœur de Haramu. Qui a pas de loup traversait la terre des lions. En tentant de rester discret. Il était rare qu'Hara se déplace aussi loin dans les terres. Ses grandes épaules musclés frôlait l'herbe haute. Il était pratiquement invisible. La beauté de sa force. C'était un lion prude, et fort. Ses yeux vairons fixe les herbes hautes, un cris résonna dans la nuit. Hara souleva lourdement la tête. Observant les horizons. Il y avait près d'un grand arbre, des herbes qui bougeait. Rapidement il repositionna sa tête vers le sol, longea le sable encore chaud et déjà humide. Il s'avança comme ça sur encore plusieurs mètre. Il s'approcha. Il vit une forme bougé. Il banda ses muscles et d'un puissant bond il vient se positionner au dessus de l'animal. Avec un rugissement qui pourfendis la nuit. Ses deux immenses pattes était autour de la tête de l'animal. Il voulait le tuer en le regardant dans les yeux. Il ne savait pas ce que c'était comme bestiole. Mais on s'en fiche.

Spoiler:

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La créature me bondit dessus en poussant un terrible rugissement qui me glaça le sang. Il posa ses deux imposantes pattes de chaque côté de ma tête et je me retrouvai nez à nez avec lui. Je remarquai que lui et moi avions un point commun : ces yeux. Ils étaient vairons comme les miens même si ce n'était pas les même couleur. J'étais terrifié mais mon instinct de survie prit le dessus. Je lui donnait des petit coup de pattes, certes cela ne devait pas lui faire bien mal au vue de la différence de nos forces. C'est pour cela que j'optais pour une réaction un peu plus offensive. Je lui mordit le museau ce qui me permis de partir en courant. Je me mis à crier :

- MAMAN !!!

Il y avait peu de chance quel m'entende mais j'essayais tout de même. Je lançai un regard derrière moi pour voir si ce lion me poursuivait mais j'aurai mieux fait de regarder où je mettais les pattes... Soudain, je trébuchai et me retrouvai à terre. Une proie facile...

- Non ! S'il-vous-plait, me manger pas !

Mort de peur, je cachai alors ma tête entre mes pattes.

Prepare for trouble, make it double !


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Anciennement - Papy Fleck

Contre toute attente, la bestiole se mit a hurler et a gesticuler dans tout les sens. Haramu pris un air ahuri quand il l'entendit hurler d'un voix aiguë et enfantine : « MAMAN !!! » La bestiole vers de terre lui donna de petit coup de patte désordonné. Hara s'en pris un dans l'oeil et hurla de douleur. Son cris résonna dans toute la savane. Si ça, ça avait pas réveiller sa mère. Ou si ça ne l'avait pas fait fuir. Comme pour en rajouter la petite chose lui mordit le museau d'un coup sec. En soit, ça ne faisait pas mal, mais cette affreuse chose lui arracha une moustache. Fous de rage, Hara libéra l'animal du diable d'entre ses gigantesques pattes et se cabra de toute sa hauteur. Il hurla à la lune. Tel un lion enragé. La petite chose trébucha un peu plus loin. La lune illuminait le dos immense d'Hara, dresser comme un ours. L'ombre gigantesque du lion se reflétait sur la bestiole tacheté. « Non ! S'il-vous-plait, me manger pas ! » Hara s'approcha, les épaules bandés le dos cambré, il avait l'allure d'un dieu. Il s'approcha de la bête qui avait couvert sa tête dans ses pattes avant. Il souffla de ses naseau avec une force considérable sur le petit pelage de la bête. « Tu-ma-arraché UNE MOUSTACHE. » Il hurla. Son cris féroce résonna encore une fois. Manquant de faire tomber la boule de poil sur le dos tellement son cris était puissant. Sa respiration était violente.

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Malgré ma petite taille, j'avais tout de même réussit à causer quelques douleurs au grand lion, du moins c'est ce que je cru comprendre en entendant son rugissement. Je sentis soudain un souffle chaud et qu'elle ne fut pas ma terreur lorsque, découvrant mes yeux, je vis le museau du monstre à quelques centimètres de moi. La bête grise hurla :

« Tu-ma-arraché UNE MOUSTACHE. »

Une moustache ? Il faisait tout ce cirque pour une moustache ?! Sur le coup, je ne saurais dire si c'était de la stupidité ou bien une bouffé de courage mais me redressant, je répliquai :

- Et alors ?! Vous essayez bien de me manger vous !

A peine ces mots étaient-ils sortis de ma bouche, que je me recroquevillai sur moi-même. Ce lion allait certainement se débarrasser de moi d'un coup de pattes... Alors que tout espoir m'avait quitté une voix familière retentit dans un grognement :

- Fleck !!!

Une créature s'approchait de nous rapidement, sa vitesse sembla encore augmenté lorsque la lune illumina le lion gris et moi-même. Une voix enragée lança :

- Je t'interdit de le toucher !

Je n'eu pas le temps de réagir qu'une ombre bondit sur le lion gris le mordant de toute ses forces. A la lumière de la lune je reconnut Maman, elle était venue me sauvé. Comme toujours...

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Le combat entre Maman et le grand lion gris se transforma en bataille des plus féroce. Ce dernier sembla d'ailleurs prit d'un accès de folie lorsque le combat débuta. Il se dressa et se mit à hurler de douleur lorsque Maman lui mordit l'épaule. Le lion se rabattit sur un arbre, écrasant son épaule et, par la même occasion, Maman qui lâcha un jappement mais elle tint bon. Elle resta tout de même accrocher ce qui arracha un grognement puissant au lion gris. Il tenta d'attraper Maman de sa patte mais n'y parvint pas ce qui le rendit furieux.
Effrayé par ce violent combat, je restais en retrait impuissant tandis que le lion se laissa tomber au sol, écrasant Maman, il se roula sur elle, l'empêchant de respirer ou de se relever. mais Maman ne lâcha pas prise et, pendant un court instant, je crus qu'elle pouvait tenir tête à ce grand lion. Malheureusement, ce dernier l'attrapa et l'envoya contre un arbre tout près de moi. Lors du chose elle recracha une gerbe de sang. Je poussai un cri de terreur :

- MAMAN !

Alors qu'elle était étendue par terre, le lion gris approcha de Maman. Il hurla alors tout près d'elle :

« LÈVE TOI ! »

Avant de lui donner un coup de patte sur le museau, lui laissant une trace de griffure. Fou d'inquiétude, je ne fis même plus attention au lion. Je me précipitai vers Maman. Inquiet, je me mis à lui donner des petits coups de museau dans l'espoir de la réveiller. Pas de réaction. Alors je tentais de la secouer, ce qui n'eut pas plus de succès.

- Maman ! Maman...

Je lui mordillai l'oreille la tirant, quelque chose au fond de moi me disais que c'était sans espoir mais je ne voulais pas le croire.

- Allez, lèves toi s'il te plait...

Soudain je vis une de ses paupière se soulever à demi et une lueur d'espoir apparut dans mon cœur pour disparaitre presque aussitôt. A peine avait-elle soulever sa paupière que celle-ci retomba. Une tristesse sans précédent s'empara de moi et mon cœur manqua un battement. Non... Ce n'était pas possible, ça ne pouvait pas être vrai... Une larme roula sur ma joue, j'enfouissais mon museau dans le pelage de Maman pour sangloter. A cet instant, le lion n'avait plus aucune importance, il pouvait bien faire ce qu'il voulait, je m'en moquais. Et même si il me tuait, au moins cela me permettrait-il de rejoindre Maman tout là-haut dans la ciel...

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Anciennement - Papy Fleck

Les yeux plissés par ses imposants sourcils, la respiration courte et rapide. Sa rage était telle qu'il en oublia la notion du temps. Ce corps gisant sur le sol était à présent, sa seul raison de vivre. Et il n'en était pas autrement. Rien n'aurais plus lui en échapper. Sauf ça peut être. « Maman ! Maman... » Le visage aride et sec de Haramu se détendit. Sa gueule béante, s'ouvris et tomba doucement. Ses yeux s'ouvrirent tout d'un coup. Sortant de cette transe meurtrière. Il ne capter plus onde d'âme chez elle. S'en était fini de sa vie. Elle était morte. Décédé. Il avait tuer une mère. Devant son enfant. Un mère. Maman. « Allez, lèves toi s'il te plait... » Il pleurait toute les larmes de son corps sur celui de sa mère. Et tout sentiments vivant semblait l'avoir abandonné. C'était un petit être sans défense a présent. Tout, il avait tout perdu. Et tout ça a cause de lui. Le monstre. Monstre. Calamité.

Flashback.
« Qu'est ce que vous avez fait a ma MÈRE ?! »
« Elle n'a pas respecté les règles du clan Haramu. Elle en a payer de sa vie. »
« MEURTRIER ! »
Flashback.

Il lorgna le petit corps frêle qui pleurait et ne pouvait plus s'arrêté. Il compris sa peine. Il comprenait sa souffrance. Il avait vécu la même chose. Il était un monstre un paria, il avait exactement reproduit le schéma de son père. Un monstre hideux empli de rage et de colère. Un monstre assoiffé de sang et d'horreur. Pourtant voir ce petit être triste lui empli le cœur de mélancolie, si bien que les larmes lui montèrent aux yeux. Il s'en voulu d'avoir été aussi bête. Si seulement il avait put contrôler sa force. Sa voix serrer tout comme son cœur résonna dans la nuit a présent muette. « Petit... Elle ne reviendra pas. » A ses mots, il crut mourir de honte. Donneur de leçon. Abrutit. Il aurait voulu mourir sur place. Mais assumer était la moindre des choses. « Je-je suis désolé.. Si seulement j'avais su. » Si il avait sut quoi. Il savait très bien, il percevait tout ça. Mais il ne voulais pas s'en rendre compte. Paria.

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Pourquoi moi ? Voila une question qui m'a toujours hanté... Pourquoi moi ? la première fois que je me suis posé cette question c'était après l'incendie qui a ravagé ma meute... Pourquoi Maman et moi étions les seuls à nous en être sorti ? Pourquoi sur vingt individus, seul deux on survécu ? Je ne le savais pas et ne l'ai jamais su. Mais en voyant Maman quitter ce monde je m'étais de nouveau posé la question... Pourquoi, moi, un petit lycaon fragile et sans défense, avais-je survécu alors que ma mère, une lycaon encore dans la force de l'âge, venait de partir ? Aucune idée. Soudain, une voix lointaine me sortis de mes pensées :

« Petit... Elle ne reviendra pas. »

Elle ne reviendra pas... Je le savais bien sur, mais en entendant ces mots, j'avais l'impression que quelqu'un venait de me planter un couteau dans le cœur. Elle ne reviendra pas... A ces mots, je ne fis qu'enfouir mon museau plus profondément dans la fourrure de ma mère. Le grand lion gris ajouta :

 Je-je suis désolé.. Si seulement j'avais su. »

Ma tristesse grandissait de secondes en secondes mais ce n'était pas le seul sentiment que je ressentais. Il y avait aussi de la colère, beaucoup de colère. Ainsi, les mots qui sortirent de ma bouche, semblait sortir de la bouche de quelqu'un d'autre :

- La ferme...

Je me retournai, les yeux plein de larmes, et fixai le lion gris en grognant. Je remarquai que lui aussi avait les larmes au yeux mais je n'en tint pas compte.

- La ferme ! Vous pouvez les garder des vos excuse !

Une telle agressivité, n'était pas vraiment dans ma nature et cela me surpris moi-même. Je constatai pour la première fois que la colère pouvait vraiment nous changer...

- Si vous êtes vraiment désolé alors laissez moi...

Je stoppais ma phrase en plein milieu pour retourner m'allongé près de ma mère, en pleur.

- Laissez moi seul.

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-La ferme...

- La ferme ! Vous pouvez les garder des vos excuse !

- Si vous êtes vraiment désolé alors laissez moi...

- Laissez moi seul.


Haramu l'observait. Il était si impuissant et ne savait quoi faire. Il attendit donc. Il attendit. En espérant que le petit s'assoupisse. Et lorsque celui ci se serais endormis, il l’emmènerais avec lui. Il était trop jeune pour pouvoir survivre seul dans la nature. Il l'emmènerais sur son dos. Il se battra pour lui, pour qu'il se fasse accepter dans son clan. Pour qu'il puisse grandir comme il aurait dut. Il sera un père pour lui. Il sera une mère pour lui. Hara ne pouvait certes pas faire grand chose, mais essayer, essayer de se racheter était la moindre des choses. Le petit pleurait, pleurait. Et vociférait les émotions qui lui passait par le coeur. Hara comprenait tout cela. Il c'était battu, lui pour sa mère, il comprenait ce qu'il ressentait. Sa voix rauque fendit l'air. " Je ne pourrais jamais remplacer ta mère mais.. Viens avec moi. Je t'élèverais comme mon propre fils. Viens et je te promais que tu ne manquera de rien. Le moment venu, tu pourra t'en aller. Donne moi une chance de me racheter. Je t'en pris. " Il observa le sol. Honteux.

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Tandis que je pleurais toujours la disparition de ma mère... Je constate que je vous raconte une partie de ma vie où je pleurais beaucoup, vous ne trouvez pas ? Enfin, j'avais de bonne raison me direz vous... Toujours est-il que le lion gris, bien loin d'avoir l'intention de partir, avait patienté un long moment avant de dire :

" Je ne pourrais jamais remplacer ta mère mais.. Viens avec moi. Je t'élèverais comme mon propre fils. Viens et je te promet que tu ne manquera de rien. Le moment venu, tu pourra t'en aller. Donne moi une chance de me racheter. Je t'en pris. "

Cette phrase me fit gronder. Comment pouvait-il oser me dire ça ?! Alors qu'il venait à peine de... de tuer Maman. Cependant, il était vrai que j'étais seul maintenant et seul, je n'avais aucune chance survivre. Mais non ! Je ne pouvais pas faire ça. Maman n'aurait certainement pas voulue que je me laisse mourir mais je doute qu'elle ai voulu que je sois élevé par son meurtrier. Je ne bougeai donc pas et ne donna aucune réponse. De toute façon, je ne voyais pas en quoi ce qui pouvait m'arriver intéressait ce vieux lion... Plusieurs longues minutes s'écoulèrent dans le silence sans que ni moi, ni le lion gris ne bouge.

- Vous allez pas me laisser seul, pas vrai ?

Ce n'était pas vraiment une question, la réponse était évidente : non. Pour un raison qui m'échappai totalement, ce lion semblait s'inquiéter pour moi. Peut-être avait-il des remords ? A vrai dire, je n'en avais aucune idée. Lorsque j'étais petit, Papa me disais qu'il fallait savoir pardonner, que la colère et la rancune ne nous menait nul part. Je me demande si il aurait dit ça, cette nuit là. Sans doute que non. Je poussai un long soupir avant de fermer les yeux pour m'endormir. Il parait que le nuit porte conseil, peut-être que ce dicton allait se vérifié ce soir là.

[HS : Vu que Hara' va emmener Fleck chez les Mositus pendant qu'il dort, je pense qu'il s'agit de mon dernier post pour ce RP, tu voudras commencer le suivant à l'Oasis ou je m'en charge ?]

Prepare for trouble, make it double !


Kit (c) KioDravyc
Anciennement - Papy Fleck

- Vous allez pas me laisser seul, pas vrai ?

Non petit. Tu ne sera plus jamais seul. Et moi non plus. Il c'était assoupi. Sur le vaste corps de sa mère étendue. Il avait les yeux vairons, tout pour être son fils. Haramu s'approcha de lui. Il sentit l'âme paternel envahir son corps. Il attrapa la petite chose dans sa gueule, se coucha et la positionna sur son dos. Un vrai poids plume. Hara ne sentit rien. A part sa douce respiration qui caressait son pelage. Il chuchotait encore "maman..." comme une douce mélodie. Tout deux entamèrent le voyage vers l'Oasis. Haramu avait l'espoir qu'il puisse s'occuper de lui, comme ne l'a jamais fais son père. Un bien pour un mal finalement. La nuit était paisible a présent, l'air frais et frissonnant. Il repensa a son père, en lorgnant les étoiles. Cette être fourbe et infâme. Comment peut-il être le fils de celui qui a tuer sa mère. Comment. Comment ce la arrive t-il. Peut être dans ce genre de situation. Et ce fut un moment important dans la vie d'Hara. Il se rendit compte tout d'un coup, que parfois, on fait des choses sans en avoir la réel intention et que l'on regrette. C'était peut être le cas de son père. Papa..

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